Entourages n°176: Équipe de campagne • L'IA qui désencombre • Recrutements • Nominations
La lettre des métiers politiques
Au sommaire de cette édition :
🤩 Assembler, animer et mobiliser votre équipe de campagne pour les élections municipales 2026. Votre candidat s’est décidé : il/elle se présente ! Il est temps de mettre en place les équipes qui l’accompagneront dans cette aventure. Colistiers, soutiens, relais d’opinion, équipe de campagne : Amélie Salmon, conseillère politique, vous aide à réussir cette dynamique collective.
🏙️ Une Intelligence Artificielle au service de la collectivité : la Métropole Aix-Marseille-Provence expérimente un callbot dédié à la gestion des encombrants. Jean-François Boyé nous détaille les étapes de la mise en place de ce projet, qui illustre les usages concrets de l’IA dans les collectivités territoriales.
Et aussi : 100 “chefs de file” pour Horizons • Les députés toqués de TikTok • Webinaire “dircoms et réseaux sociaux” • Protection fonctionnelle • Secrétaires de mairie • Votation citoyenne • Actualités
☑️Recrutements
☑️Nominations
***Ce numéro est exceptionnellement en accès libre pour tous nos abonnés. Mais n’oubliez pas qu’en vous abonnant, vous nous permettez de vous informer sur les métiers politiques***
Municipales 2026 : assembler, animer et mobiliser votre équipe de campagne
Les skippers du Vendée Globe pourraient-ils prendre part à la course sans une équipe avec eux ? Bien sûr que non ! Dans une campagne électorale, a fortiori celle des municipales, constituer et fédérer une équipe autour de la tête de liste ou de son projet, selon la stratégie envisagée, doit être l’une des priorités du candidat et ce, à tout moment de la campagne.
Une équipe, quelle équipe ?
En réalité, ce n’est pas une mais plusieurs équipes que le candidat devra constituer.
D’abord, en fonction des besoins :
- Celle des colistiers, qui se finalise en général assez tard dans la campagne et dont la composition répond à des critères légaux autant que politiques ;
- Celle des soutiens opérationnels (et parmi eux encore quelques véritables militants, précieux de par leur expérience du terrain) qui, en fonction de leurs disponibilités et compétences, prendront une plus ou moins large part des responsabilités et tâches de la campagne ;
- Celle des relais d’opinion, de la tête de réseau associatif à l’entrepreneur, en passant par l’influenceur local.
Ensuite, en fonction du moment de la campagne :
Par exemple, la structuration de l’équipe de campagne peut à ce jour encore attendre, mais devra être effective au plus tard en octobre.
Sur ce point, l’ « organigramme » classique consiste à placer à sa tête le candidat et son directeur de campagne (parfois le mandataire, le cas échéant), puis de décomposer en plusieurs responsabilités :
- communication (à l’intérieur de laquelle on peut répartir entre relations presse, communication digitale, évènementiel, riposte, etc.)
- projet (réflexion et élaboration du programme, parfois veille thématique)
- animation et/ou mobilisation (constitution et animation de réseaux : élus, militants, citoyens)
- auxquels on peut aussi ajouter un référent juridique, un conseil stratégique, un rédacteur, quelqu’un qui sera chargé de récolter des dons, etc.
Dans l’idéal, il est pertinent de tester l’organisation sur de petits évènements en amont du début de la campagne, de manière à avoir le temps de procéder à d’éventuels ajustements et d’être pleinement efficace dès les premières actions de campagne.
Rassembler et mobiliser ses soutiens
Procéder par cercles, comme on le fait pour le réseautage professionnel, reste probablement la meilleure option. Le candidat va contacter son « premier cercle » c’est-à-dire ses proches (famille, amis, collègues) lui exposant son projet et ses besoins. Cette première étape lui permettra de peaufiner son discours et les priorités qu’il doit mettre en avant. Puis il procèdera de même avec son deuxième cercle (connaissances) et demandera enfin à ses premiers et deuxièmes cercles de le recommander auprès de personnes qui pourraient être intéressées par son projet.
Dans ces échanges, le candidat doit savoir détecter, dans les réponses des personnes qu’il rencontre, ce qu’elles pourraient être disposées à faire.
./..
🖊 Abonnez-vous à Entourages !
Vous souhaitez accéder à la totalité de nos contenus ? Contribuez à vos succès et à notre avenir en vous abonnant :
Souscrire un abonnement individuel à 190 €/an (48 numéros, 4 €/numéro)
Souscrire un abonnement mensuel à 18€
Nouveau : vous pouvez grouper vos abonnements, à partir du deuxième abonnement une remise de 20% est appliquée, soit 152€ par abonné
🏘️ Collectivités : nous sommes enregistrés sur Chorus Pro, contactez-nous pour obtenir un devis.
➡ Pour toute demande de devis, situation particulière, contacter abonnements@entourages.media
./..
Ainsi, certaines personnes ne veulent pas apparaitre directement comme soutien de la campagne. Ce n’est pas pour autant qu’elles ne veulent pas la soutenir. On peut alors leur proposer de faire un don, ou d’effectuer des tâches en back-office : rédiger la circulaire, faire du phoning, gérer les réseaux sociaux, demander des devis …
D’autres manquent de disponibilité : le candidat doit garder en tête les pics de mobilisation (en particulier, la période de campagne officielle, quelques semaines en amont du premier tour, et l’entre-deux-tours) pour pouvoir leur indiquer et leur permettre ainsi d’être pleinement mobilisées sur des temps très courts.
Deux cas présentent des particularités :
Les communautés en ligne : pour être réellement efficace, il faut que le candidat constitue sa ou ses communautés très en amont du début de la campagne. C’est un vrai travail de fond, qui ne peut être soutenu par des posts sponsorisés qu’en-dehors de la période de campagne. Si le candidat ne dispose pas du temps et des ressources humaines suffisantes pour véritablement animer sa ou ses communautés, mieux vaut qu’il se concentre sur un ou deux réseaux (Facebook reste indispensable en communication politique) et qu’il les considère comme un simple relais de communication (annonces réunions publiques, retours sur un évènement passé, reprise d’un article de presse, recadrage d’une prise de position, etc.
Les soutiens politiques : cela doit être bien considéré d’un point de vue stratégique, mais il peut être intéressant pour le candidat de s’afficher avec une personnalité politique plus connue lors d’un meeting, ou d’obtenir de sa part un message de soutien qui sera reproduit, par exemple, sur la profession de foi. Ce soutien doit être sollicité assez tôt, notamment pour une venue sur place : les agendas des élus sont souvent remplis plusieurs semaines à l’avance !
Animer une équipe pour mieux la mobiliser
Au fur et à mesure que la campagne s’intensifie et que l’équipe est de plus en plus sollicitée, les esprits peuvent s’échauffer du fait de la fatigue et de menues divergences.
La tête de liste, son directeur de campagne et/ou le responsable des équipes doivent y prêter une attention toute particulière et toujours se souvenir qu’aujourd’hui, offrir de son temps est devenu un cadeau rare. Sans remerciement, sans marque de gratitude ou de considération, l’équipe de soutiens s’étiolera rapidement.
Laisser un thermos de café à côté du matériel pour l’équipe qui se charge de la session de collage matinale, dévoiler le programme « en avant-première », proposer à un membre d’accompagner à un rendez-vous avec une personnalité qu’il ou elle apprécie, envoyer un message personnalisé pour l’anniversaire d’un membre ou mieux encore, prendre un moment pour souffler les bougies avec lui, profiter d’un meeting pour remercier publiquement l’équipe, etc. Ce sont ces petites attentions quotidiennes qui entretiennent le sentiment d’adhésion autant que celui d’appartenance, deux moteurs forts de l’engagement, tout autant qu’elles entrainent de bonnes retombées quant à la réputation du candidat et de l’équipe de campagne.
Amélie Salmon
Pour aller plus loin :
➡️Sur les communautés en ligne : lire la partie « I – Les réseaux sociaux en tant que catalyseur de la mobilisation et de l’action politiques » dans les campagnes électorales américaines, publié par les Nouveaux Cahiers du Conseil Constitutionnel.➡️Bénédicte Baradel vous expose la “subtile alchimie” humaine d’une équipe de campagne. Vision partagée, incarnation, capacité à coopérer, faculté à évoluer ensemble, dans la durée : https://www.entourages.media/i/159741587/constituer-son-equipe-une-subtile-alchimie
➡️Consulter tous nos articles consacrés à la préparation des élections municipales 2026 : https://www.entourages.media/t/municipales
IA : un “callbot” pour mieux gérer les encombrants
A quoi sert concrètement l'Intelligence Artificielle dans une ville ? Au-delà des perspectives futuristes, les collègues directeurs de cabinet s'interrogent sur les applications tangibles de ces technologies. Comment l'IA peut-elle résoudre des problématiques quotidiennes rencontrées par les services municipaux et améliorer concrètement la qualité du service rendu aux habitants ? Entourages vous propose un cas d'usage concret, issu d'expérimentations territoriales déjà opérationnelles. Grace à la Banque des territoires et à la bibliothèque de cas d'usage mis en place par l'association spécialisée digital « Les Interconnectés », nous partageons des retours d'expérience directement transposables dans votre collectivité.
L'intelligence artificielle représente aujourd'hui un levier d'action concret pour les collectivités territoriales cherchant à optimiser leurs services publics. La Métropole Aix-Marseille-Provence illustre cette dynamique avec son Programme IA de la Métropole (PRIAM) dont l'expérimentation majeure porte sur l'implémentation d'un callbot dédié à la gestion des encombrants. Ce projet innovant est piloté par Youssef Baltagi, directeur de mission en intelligence artificielle à la métropole Aix-Marseille-Provence.
Les étapes de mise en oeuvre :
L'implémentation du callbot pour la gestion des encombrants s'inscrit dans une démarche méthodique, illustrant les bonnes pratiques en matière de déploiement de solutions d'IA dans une collectivité territoriale :
Phase de diagnostic et d'identification des besoins : La métropole a d'abord conduit une analyse précise de la volumétrie des appels, identifiant que 30% des 600 000 appels annuels concernaient la gestion des encombrants. Cette évaluation quantitative a permis de cibler précisément le périmètre d'intervention du callbot et de mesurer son impact potentiel.
Élaboration préalable d'un cadre éthique : Suite à une expérience antérieure ayant révélé des problématiques de conformité au RGPD, la métropole a établi une charte éthique avant tout déploiement technique. Cette charte, co-construite avec la société civile et notamment le Conseil des Jeunes, définit les principes directeurs de transparence, d'équité et de proportionnalité. Adoptée à l'unanimité par les élus en octobre 2023, elle constitue le socle de gouvernance de tous les projets d'IA métropolitains.
Choix technologique pragmatique : Après une expérimentation concluante, la métropole a privilégié la solution d'un prestataire déjà sous contrat, optimisant ainsi les coûts et délais de déploiement.
Constitution et exploitation de la base de connaissances : Le projet mobilise principalement le corpus documentaire déjà utilisé par les téléconseillers, enrichi de données de géolocalisation. Cette approche de réutilisation des ressources informationnelles existantes garantit la cohérence des réponses du callbot avec les pratiques établies du centre d'appels.
Implémentation de fonctionnalités à valeur ajoutée : Au-delà de la simple prise d'appel, le système intègre des services additionnels comme la notification aux usagers confirmant la prise en charge de leurs encombrants, renforçant ainsi la qualité perçue du service.
Phase d'expérimentation et d'ajustement : Le déploiement progressif à l'automne 2024 permet d'affiner le système, notamment sur les points identifiés comme sensibles lors de l'étude d'autres initiatives similaires, tels que la transcription précise des adresses et des noms.
Les résultats et les perspectives
Les premiers résultats montrent une baisse significative du temps d'attente moyen (30%), tandis que la Métropole vise l'objectif ambitieux de traiter 100% des appels reçus. Le projet s'inscrit dans une démarche globale de numérique responsable, la Métropole ayant obtenu le label "Territoires Numériques" en 2023.
Les chiffres :
180 000 appels reçus l'an dernier pour la gestion des encombrants
30% de baisse du temps d'attente moyen (objectif en passe d'être atteint)
100% des appels reçus traités (objectif affiché)
Le déroulé :
1er juillet 2023 : lancement du centre d'appel pour la gestion des encombrants
Septembre 2023 : élaboration des principes d'une charte éthique de l'IA
Octobre 2023 : adoption à l'unanimité de la charte métropolitaine pour un usage éthique de l'IA
Avril 2024 : lancement de PRIAM (Programme IA de la Métropole)
Automne 2024 : démarrage des tests du callbot
Les clés du succès
Pour garantir la réussite de tels projets, trois recommandations complémentaires se dégagent de cette expérience :
Développer des compétences internes permettant d'évaluer avec discernement les solutions techniques proposées par les prestataires
Impliquer les métiers dès les premières phases d'idéation et d'expérimentation pour anticiper efficacement les besoins réels
Mettre en place des enquêtes de satisfaction mesurant l'adoption de la technologie par les usagers, en portant une attention particulière à la réduction des temps d'attente
L’IA comme outil de transformation du service public local
L'expérience de la Métropole Aix-Marseille-Provence démontre qu'un projet d'IA bien structuré, éthiquement encadré et répondant à un besoin concret des usagers peut améliorer l'efficience des services publics. Cette démarche souligne l'importance d'une gouvernance claire, associant compétences techniques, vigilance juridique et participation citoyenne. Pour les collectivités souhaitant s'engager dans cette voie, les points de vigilance demeurent la conformité RGPD, la maîtrise des technologies LLM, et l'accompagnement au changement tant pour les agents que pour les usagers.
Jean-François Boyé
Municipales : 100 “chefs de file” pour Horizons
Le bureau politique du parti Horizons a désigné ses 100 premiers “chefs de file” pour préparer les élections municipales de 2026 dans les villes de plus de 30000 habitants. Ils sont charger de déployer “la stratégie du parti pour préparer les élections municipales et porteront une attention particulière à la cohérence du projet porté localement avec les valeurs d’Horizons” .
Pour consulter la liste complète :
➡https://horizonsleparti.fr/nos-chefs-de-file-pour-les-municipales-de-2026/
Étude : les députés toqués de TikTok
Décideurs Magazine et l’agence JIN publient une étude exclusive sur l’utilisation du réseau TikTok par les députés. Les chiffres sont révélateurs de l’engouement : “59 % sont présents sur ce réseau et, plus ils sont jeunes, plus la promotion de tiktokeurs est élevée. Ainsi, 86,3 % des élus de moins de 35 ans y sont actifs contre 76,4 % des 35-44 ans, 53,6 % des 45-59 ans et 38,4 % des plus de 60 ans.”
Pour l’étude complète :
➡https://www.decideurs-magazine.com/politique-societe/61258-etude-exclusive-les-responsables-politiques-francais-toques-de-tiktok.html
Webinaire : “dircoms et réseaux sociaux, état des lieux'“
L’agence La Netscouade a analysé 131 profils d’adhérents de l’Association Communication publique, sur les réseaux LinkedIn et X, et réalise un audit qualitatif et quantitatif. Juliette Orain, la directrice “social media et influence” de La Netscouade, présentera en ligne les résultats de cette étude.
Quand ? le mardi 6 mai de 8h30 à 9h30
Pour s’inscrire :
➡https://www.communication-publique.fr/agenda/2025/dircoms-publics-reseaux-sociaux/
Bouches du Rhône : pas de protection fonctionnelle pour l’ex-directeur de cabinet
Le tribunal administratif de Marseille a rejetté le recours de l’ancien directeur de cabinet qui contestait la fin de la protection fonctionnelle et demandait une indemnité en remboursement des frais d’avocat payés depuis 2021 pour se défendre dans les instances pénales. L’ex dircab avait été reconnu coupable du “délit de destruction de document ou objet concernant un crime ou un délit pour faire obstacle à la manifestation de la vérité et condamné à six mois d’emprisonnement avec sursis” après avoir détruit des ordinateurs avant une perquisition.
Le communiqué du TA et la décision :
➡https://paris.cour-administrative-appel.fr/tribunal-administratif-de-marseille/decisions-de-justice/dernieres-decisions/communique-de-presse-protection-fonctionnelle-24-avril-2025
Tout savoir sur la mise en oeuvre de la réforme des secrétaires de mairie
La Direction générale des collectivités locales (DGCL) publie une foire aux questions et des liens utiles sur la réforme du statut des secrétaires généraux de mairie. Plan de bonification, requalification d’ancienneté, n,ouveau contrats : toutes les informations utiles sont regroupées dans ce document.
➡https://www.collectivites-locales.gouv.fr/fonction-publique-territoriale/secretaires-generaux-de-mairie-foire-aux-questions
Votation citoyenne à Paris : rejet d’une demande d’annulation
Le Tribunal Administratif de Paris a rejeté une demande d’annulation de la votation du 4 février 2024 portant sur la tarification des SUV. Le tribunal a jugé que la requête était manifestement irrecevable, dès lors que les résultats de la votation organisée le 4 février 2024 ont valeur d’avis ne faisant pas grief, et non pas d’une décision - via Mehdi Yazi-Roman.
Dans l’actualité
✔️Ritchy Thibault, collaborateur parlementaire de Ersilia Soudais, se trouve de nouveau dans le collimateur de la justice. La présidente de l’Assemblée nationale a annoncé porter plainte contre lui et Merlin Gautier, collaborateur du député Andy Kerbrat, pour avoir enfreint les “règles de sécurité et d’accès à l’Assemblée nationale”.
D’autre part, le ministère de l’Intérieur a annoncé saisir la justice après l'appel de Ritchy Thibault à créer des “brigades d’auto-défense populaire” lors du rassemblement contre l’islamophobie. Ce dernier a été auditionné le 30 avril par la PJ. Son contrat de travail avec sa députée serait “en cours de discussion”.
✔️ Le président du Grand Chalon et d’Intercommunalités de France Sébastien Martin est candidat à la législative partielle de la 5e circonscription de Saône-et-Loire les 18 et 25 mai.
➡️https://www.lejsl.com/elections/2025/04/23/legislative-partielle-sebastien-martin-sera-le-candidat-de-la-droite
✔️Halluin : l’ancien directeur de cabinet réclamait 146000 euros pour “préjudice financier et moral” après avoir été licencié.
➡️https://www.lavoixdunord.fr/1580661/article/2025-04-29/halluin-l-ancien-directeur-de-cabinet-reclamait-146-000-euros-apres-avoir-ete
✔️Le directeur de cabinet du maire de Roanne va déposer plainte pour injure publique suite à des publications sur des réseaux sociaux
➡️https://www.leprogres.fr/faits-divers-justice/2025/04/28/igor-manfredi-directeur-de-cabinet-du-maire-va-deposer-plainte-pour-injure-publique
Recrutements
✅Le groupe écologiste à la Région Grand Est recrute un collaborateur d’élus (H/F) chargé de la communication
✅Un Conseil Départemental d'Ile-de-France recherche son Directeur de Cabinet Adjoint (F/H) - via Fursac Anselin
✅Le groupe « Ensemble, la Seine-Maritime ! » recherche un/une collaborateur politique à plein temps pour le groupe d’élus au département de la Seine-Maritime
✅La mairie de La Clusaz recrute son ou sa futur(e) Responsable de la communication
✅La ville des Lilas recherche son/sa futur.e Chargé(e) de communication, en charge des réseaux sociaux et de la communication numérique.
✅Le sénateur Stéphane Piednoir (LR, Maine-et-Loire) recherche une/une assistante parlementaire en circonscription.
Nominations
Collectivités
Olivier Morel-Maroger est nommé directeur de cabinet du président du conseil départemental la Meuse, Jérôme Dumont (DVD).
William Messi a été nommé directeur de cabinet du maire de Saint-Genis-Pouilly (01).
Philippine Gauduffe a été nommée chef de Cabinet du maire du Plessis-Robinson (93).
Gouvernement
Grégoire Halliez a été nommé directeur de cabinet de la ministre de l’Agriculture, Annie Genevard, et Ludovic Pacaud, directeur de cabinet adjoint.
Alexiane Torrens est promue conseillère presse et communication de la ministre déléguée chargée de l’autonomie et du handicap, Charlotte Parmentier-Lecocq,
Thomas Lesueur est nommé directeur adjoint du cabinet du ministre de la justice, Gérald Darmanin,
Auguste Ott est nommé conseiller technique élus locaux auprès du directeur de cabinet du Premier ministre, Nicolas Pernot.
Autres nominations
Annelore Coury, conseillère social au cabinet du président de la République, est nommée conseillère maître à la Cour des comptes, au tour extérieur.
Florian Demarest est nommé directeur de cabinet, responsable du service communication de Science Po Toulouse.
Simon Chassard, ex-chef du pôle territoires du cabinet du Premier ministre, est nommé directeur général délégué du conseil régional d’Île-de-France.
Pierre Breton ex-conseiller eau, air, santé environnementale et adaptation de la ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a été nommé directeur du Green Data for Health (GD4H) de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses).
***Ce numéro est exceptionnellement en accès libre. Vous avez apprécié sa lecture ? Abonnez-vous ! ***
Les articles publiés dans Entourages sont protégés par le code de la propriété intellectuelle (articles L. 111-1 et suivants et L218-2), toute rediffusion ne peut être effectuée qu’avec notre accord.
Entourages est une publication FPMédias, n° de commission paritaire n°0624 X 9493