Entourages n°98: Passer de chef de cabinet à dircom • La "bulle" du journalisme politique • Communiquer sur un chantier (et ses nuisances)
La lettre des métiers politiques
Dans ce numéro 98 d’Entourages, la lettre des métiers politiques :
🌚🌝 Jérémie Pottier : de chef de cabinet à dircom, il passe de l’opérationnel au stratégique. Directeur de la communication à la mairie de Soisy-sous-Montmorency depuis 2020, il revient sur la transition entre un poste opérationnel en cabinet et la direction à la communication.
🗞️Journalisme politique : Rachid Laïreche raconte les règles de la “bulle”. Quelles sont les pratiques, les codes, les rituels, de la « bulle politique » très parisienne ? Journaliste à Libération, il vient de publier “Il n’y a que moi que ça choque ?”. Un regard lucide sur le métier de journaliste politique, et sa place dans le débat démocratique français.
🚆 À Annemasse, comment communiquer sur la prolongation du tramway ? Ce projet d’ampleur est à la fois source de satisfaction pour les habitants, et source de nuisance. Jean-Marc Borredon, directeur de communication de l’agglomération, nous explique comment il développe un dispositif complet pour faire passer au mieux la mesure auprès des habitants, et adoucir la vie des riverains.
📅 En bref : La création de l'Association des Départements d'Île-de-France ; Resoterr propose un webinaire pour les collaborateurs d’élus
▶ Recrutements : neuf annonces cette semaine.
▶ Nominations dans les collectivités, au Parlement et gouvernement
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Jérémie Pottier : de chef cab à dircom, passer de l’opérationnel au stratégique
Après dix ans à la maire du Bourget dont deux en tant que chef de cabinet, Jérémie Pottier est retourné vers son domaine de cœur, la communication. Directeur de la communication à la mairie de Soisy-sous-Montmorency depuis 2020, il revient sur la transition entre un poste opérationnel en cabinet et la direction de la communication.
Pourquoi être passé de chef de cabinet à directeur de la communication ?
En premier lieu, je suis formé en communication. J’ai obtenu un master spécialisé dans la communication institutionnelle et politique. Dans ma collectivité précédente, le cabinet et le service communication étaient regroupés. J’étais initialement chargé de mission au sein du service, puis un poste de chef de cabinet a été créé et m’a été proposé. J’ai toujours eu la double casquette de chef de cabinet et de communication, et n’ai jamais complètement abandonné la communication. À Soisy-sous-Montmorency, je suis simplement retourné dans mon cœur de métier.
Comment s’est déroulée la transition ?
La transition s’est bien déroulée, car je dirige un service directement rattaché au maire. C’est très fluide entre le cabinet, le maire et moi-même, car je connais son mode de fonctionnement. J’ai été sensibilisé aux enjeux du cabinet donc je peux comprendre rapidement ce que les élus veulent. Je sais quand le sujet est politique et qu’il y a besoin de leur soumettre mes propositions pour avis.
J’ai appris à me positionner en m’appuyant sur les forces en présence tout en apportant des changements. À la direction, il n’y a plus de filet. Lorsque j’étais chef cab, il y avait un dircab au-dessus de moi, et une étape entre moi et la validation des élus. Aujourd’hui, j’assume mes décisions et celles de mes collaborateurs face aux élus. La fonction de direction m’a aussi amené à embrasser son aspect stratégique et à délaisser le côté plus opérationnel. Dans ma précédente collectivité, ma mission était plutôt de participer à l’activité générale. Par exemple, la mise en ligne de posts sur les réseaux sociaux, un aspect typiquement opérationnel. Aujourd’hui, j’ai un rôle d’encadrement, je donne les grandes lignes, le tempo. Étant dans une ville moyenne, l’aspect opérationnel n’est bien sûr jamais bien loin, mais beaucoup moins.
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(excusez-nous de l’interruption, mais c’est important)
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Quel lien conservez-vous avec le cabinet en tant que directeur de la communication ?
À la communication, nous sommes à la croisée entre le politique et l’administratif. Nous avons le côté administratif dans la relation avec les services qui organisent des projets d’un point de vue très concret, et l’aspect politique dans la manière dont nous allons traiter le sujet. C’est un lien d’échange. Sur un événement, le cabinet peut avoir des informations en première ligne, car la décision descend à la base des élus. Il sera donc sera amené à me solliciter pour commencer à réfléchir à ces sujets et à les traiter. Par exemple, si la ville décide de mettre en place une zone 30, le cabinet me dira que les élus ont validé l’installation de la zone 30, donc je commence à mettre en place le dispositif de communication sur le sujet. Ça a beau être un métier d’image, on veille toujours à ce que ce soit le fond qui guide l’action. On n’est pas dans les paillettes. On est toujours sur le fond et le quotidien, c’est important de garder cela à l’esprit pour bien faire son métier.
Quelles expériences, avez-vous tiré du poste de chef cab pour l’exercice de votre actuel métier ?
L’aspect relation avec le citoyen. Au cabinet, nous avions affaire aux requêtes des habitants sur des sujets très variés. Donc aujourd’hui quand nous concevons une campagne de communication, je m’interroge systématiquement sur la réception des habitants, la façon dont elle sera perçue. Il faut se mettre à la place du lecteur, expliquer, répondre aux requêtes. Avec les réseaux sociaux, notamment, nous continuons à répondre aux différentes sollicitations.
Qu’est-ce que votre expérience chez GentleGeek, un blog dédié à la culture et l'actualité geek dit de vous ?
Cela parle de mes passions, de ma culture, ma curiosité. C’est sur quoi j’aimais écrire. Nous parlions de films et de livres qui concernaient la pop-culture. Moi, j’écrivais sur le cinéma, on était déjà dans le visuel. C’était simplement un loisir. Lorsque je me suis pris de passion pour le cinéma, j’étais déjà dans la communication, donc ça n’a pas de lien. Le fait de travailler pour ce site m’a apporté de l’expérience dans la pratique rédactionnelle. Rédiger toute sorte de choses, des chroniques, des interview, des critiques, cela m’a permis d’exercer ma plume.
Propos recueillis par Marie Genty
Journalisme politique : Rachid Laïreche raconte les règles de la “bulle”
Pendant huit années, Rachid Laïreche a été journaliste au service politique du quotidien Libération. Il raconte dans son ouvrage "Il n'y a que moi que ça choque ?" (ed Les Arènes) les pratiques, les rituels, la « bulle politique », très parisienne. Sans aigreur, sans méchanceté, sans boules puantes. Juste avec un détachement croissant et un regard lucide sur le métier de journaliste politique, et sa place dans le débat démocratique français.
En France, les services politiques jouent un rôle dominant dans les grandes rédactions, alors que dans d'autres pays, c'est souvent le service "société". Pourquoi cette différence ?
A la différence des autres pays, il y a l'élection présidentielle en France. Elle prend une place importante dans le fonctionnement de notre société. A la fin de chaque élection présidentielle, le journaliste politique se pose la question : "que se passera-t-il dans cinq ans ?" Ça ne s'arrête jamais ! La présidentielle est une sorte de maladie qui rend fou, les politiques et les journalistes. Pour qualifier un média en France, on ne lit pas les pages "société" ou "culture", alors que des sujets comme l'avortement, l'adoption dressent pourtant une "couleur" politique. Non, en France, les pages "politique" définissent le plus la ligne éditoriale.
Le journaliste politique en France n'est pas un contre-pouvoir. C'est un suiveur de la politique. Il raconte plus les hommes et femmes politiques que la politique. La politique, ce sont les lois, ce qu'on en fait. Les journalistes politiques aiment faire des portraits, des grands récits, les scènes, et raconter la stratégie des uns et des autres. Pour raconter les politiques, il faut déjeuner avec eux, avoir de bonnes relations, négocier.
Cette habitude du "déjeuner de presse", que vous décrivez dans votre livre, peut choquer quand on n'est pas dans cette bulle. Et l'utilisation massive de propos en off, qui accompagne ces déjeuners, n'est pas sans poser des problèmes.
Le problème du journalisme politique, que je décris dans mon livre, ce sont les rituels. On ne s'interroge jamais. On déjeune tout le temps avec les politiques, dans les ministères, dans des restaurants qui coûtent un bras, pour avoir des "confidences". Et personne ne s'interroge sur "qu'est-ce qu'on fait là ? Ce déjeuner a-t-il été utile ?"
Le Off devrait être utilisé quand il y a un truc important, dangereux pour la source. Mais en politique, on utilise le Off pour tout et rien : une vacherie sur un collègue, on la met en off, et tout le monde se marre. Je crois que ce serait bien que l'on s'interroge sur ce que nous faisons.
Les collaborateurs d'élus utilisent beaucoup le Off pour communiquer avec les journalistes. Ils sont dans l'ombre, et ne peuvent pas parler au nom de l'élu, qui est le seul à avoir la légitimité politique.
C'est un rite, un code : personne n'imagine citer un collaborateur dans un article. On ne met pas le nom d’un bras droit, d’un conseiller. Ce qui est étrange est que le collaborateur (des députés ou d'un maire) fait tout : il gère l'agenda, il prépare les textes de loi, il prépare les éléments de langage, il répond à la presse au nom du politique... Il est multi-services. On l'appelle, on demande "ton élu fait un meeting ? quand ? comment on fait pour les accréditations ? Comment on y va ? Et sur le fond, que va-t-il dire ? qu'est-ce que tu en penses ? et les collègues, ils en disent quoi ?" Et on glisse dans l'analyse politique, l'opinion sur les concurrents. Même pour des personnalités comme Mélenchon, Cambadélis, Jadot, j'avais un contact que j'appelais pour connaitre les déplacements, ce qu'il avait mangé la veille, son interview du jour, et les positions des concurrents. Et c'est une personne unique qui répond. Et c'est du Off.
Cet anonymat aboutit parfois à des articles dans lesquels il n'y a pas une source officielle qui s'exprime. Le lecteur ne sait plus qui parle, d'où vient l'information, dans quel but, si c'est un ballon d'essai politique...
Et le pire est que l'on utilise parfois du Off pour des phrases qui n'ont aucun intérêt, qui ne mettent personne en danger ! Le premier titre que j'avais en tête pour le livre était "Journalisme politique, maladie chronique". On se refile des règles non-écrites entre nous : le off, le déjeuner, la relecture d'un interview...tout est comme ça. Alors que ces règles ne sont inscrites nulle part. Ce sont les règles de la bulle, et il faut jouer le jeu. On frôle parfois la ligne, mais on reste dans les clous.
On a l'impression que les services politiques font de moins en moins de grands entretiens où l'on aborde les sujets de fond, et que ce type d'échange se trouve maintenant sur YouTube ou Twitch. Pourquoi ?
Quand on fait une interview avec un ministre, on lui envoie pour relecture. Le ministre va l'envoyer ensuite à Matignon pour une deuxième relecture. Et ce que l'on récupère a changé. On se demande alors "A quoi bon faire de grands entretiens pour ce résultat contrôlé, aseptisé ?" Manuel Valls avait instauré cette double lecture quand il était Premier ministre. Et par exemple, la ministre du travail, Myriam El Khomri, a donné un interview avant la "loi travail". Manuel Valls a ajouté la phrase « Sinon on passera par le 49-3 ». Ce que Myriam El Khomri n'avait jamais dit. Elle se trouve ensuite à gérer le buzz pour une phrase ajoutée par Manuel Valls. Alors que les entretiens que l'on voit sur YouTube ou Twitch sont en direct, sans filtre.
Et si un journaliste politique ne respecte plus ces codes, que se passe-t-il ?
S'il a attaqué un politique, il ne sera plus invité aux déjeuners. Il a rompu la confiance. Cela arrive très souvent. J'ai écrit un article un peu "méchant" sur Jean-Luc Mélenchon, j'ai été viré du point Off. Tous les collègues étaient invités, sauf moi. Je suis puni. Il y a des bouderies, mais on se retrouve toujours, car tout le monde a besoin de tout le monde.
Tout cela peut sembler dérisoire. Mais ce type d'entre-soi passe de plus en plus mal auprès du public. Vous mettez de la lumière sur les façons de travailler des journalistes politiques, ce qui a l'avantage de lever des fantasmes.
On passe notre temps à interroger les gens, à poser des questions, et on ne s'interroge jamais sur ce que nous faisons. C'est aussi pour cela que j'ai fait ce livre. Je raconte mon rapport au politique, comment ça se passe dans le bureau entre Mélenchon et moi. Des fois ça crie, parfois ça pleure, des fois on rigole…c'est ça la discussion ! Voilà ce qui se passe derrière le rideau. Le rapport avec les politiques est une question importante, qui mérite un débat transparent. Mais on ne se pose pas cette question. Résultat : les lecteurs fantasment sur le journalisme politique. Et le manque de transparence fait perdre la confiance. Je ne dénonce pas, je ne suis pas aigri, je dis simplement : on peut mieux faire dans notre pratique collective.
Propos recueillis par Fabrice Pozzoli-Montenay
À Annemasse, le chantier du tramway devient un exemple de communication globale
À Annemasse, les travaux de création de lignes de tramway ont débuté en septembre et ne se termineront qu’en 2025. Un projet de grande ampleur qui est une source de satisfaction pour les habitants, mais aussi une grande source de nuisance. Jean-Marc Borredon, directeur de communication de l’agglomération développe un dispositif complet de communication pour faire passer au mieux la mesure auprès des habitants et adoucir au possible la vie des riverains pour les années de travaux.
Phase 1 : informer en amont
Avant la mise en place d’une politique publique, toute collectivité informe ses administrés. Un an avant le début des travaux, l’agglomération a donc organisé des réunions publiques pour« donner un sens » au projet, selon les termes de Jean-Marc Borredon. Site web, réseaux sociaux, affichage public, dossier de presse, la collectivité a mobilisé tous les outils à sa disposition afin d’expliquer le « pourquoi » du chantier à venir.
Phase 2 : accompagner les riverains pendant la phase des travaux
Si un tel projet de développement de la ville est généralement apprécié des habitants, sa mise en œuvre peut générer des frustrations du côté des riverains. Jean-Marc Borredon a développé la stratégie de la « bulle de communication ».
Il a mis à disposition des riverains un médiateur, afin de répondre à leurs sollicitations. « S’il y a des coups à prendre, toute la gestion de la relation à l’usager ne se fait pas par l’institution, mais par un médiateur qui représente le projet » explique-t-il. La fonction première du médiateur reste de faire entendre la voix des riverains auprès des entreprises chargées des travaux. Pour le dircom, il est nécessaire de mettre en place un dialogue humain, « sinon, les entreprises font ce qu’elles veulent et les riverains peuvent être lésés. »
Phase 3 : communiquer sur les déviations liées aux travaux
« Nous sommes frontaliers avec Genève, il y a un bassin de vie qui se déplace entre Genève et Annemasse. Avec ces travaux, il faudra ajuster les itinéraires », explique le dircom. Lors de la construction de la première partie du tramway entre 2017 et 2019, la communication de la collectivité avait mis en place une signalisation temporaire pour indiquer les déviations liées aux travaux. « Les maintenir à jour était un enfer », déplore Jean-Marc Borredon. Pour cette nouvelle phase de travaux, il prend une direction différente et compte sur Waze pour indiquer aux automobilistes les itinéraires alternatifs. Afin d’inciter à utiliser ce service GPS, le service communication met en place des affiches publicitaires au niveau des axes routiers, et de spots diffusés à la radio. Il est aussi prévu de diffuser des posts Facebook sponsorisés et ciblés en géolocalisant les personnes autour du territoire.
Marie Genty
Création de l'Association des Départements d’Île-de-France
Sept départements d'Ile-de-France se regroupent “pour défendre une meilleure prise en compte de la réalité départementale dans l'organisation du Grand Paris et plus généralement dans les débats sur la décentralisation” selon leur communiqué commun. Yvelines, Val de Marne, Val d’Oise, Essonne, Seine et Marne, Hauts de Seine, Seine Saint Denis créent ensemble l’ADIF (association des départements d’Île de France). Cet organisme souhaite devenir “l’interlocuteur privilégié du Gouvernement pour porter une vision efficace et inclusive de l'agglomération francilienne ”. L'ADIF veut apporter “un éclairage particulier sur tout sujet relatif à son développement (aménagement, transport, logement, éducation, solidarités, emploi, environnement…).”
Webinaire : le management en cabinet d’élus
Organisation, réglementations, relations avec l’administration, relations avec les élus... L'association RéSoTerr organise un webinaire pour échanger autour de ces sujets et sur les problématiques que les collaborateurs de cabinet peuvent rencontrer. Arnaud Bourdin, directeur de cabinet du Président du Département de Loire-Atlantique et Président de RéSoTerr, animera ce webinaire mardi 19 septembre, de 12h30 à 14h.
Recrutements
▶La ville de Saint-Genis-Laval (Rhône) recherche un collaborateur de cabinet chargé d’effectuer les tâches de secrétariat et de traitement de l’information.
▶La ville de Marseille recherche un stagiaire au cabinet du Maire, pour travailler sur les sujets d'environnement et d'espace public.
▶La ville d’Hérouville Saint-Clair recherche un chef de cabinet dès que possible.
▶Le député Frédéric Valletoux (Horizons) recherche un stagiaire chargé de la communication.
▶Le député Jean-René Cazeneuve (Renaissance) recherche un assistant de direction .
▶La députée Patricia Lemoine (Renaissance) recherche un attaché parlementaire.
▶La députée Stéphanie Kochert (Horizons) recherche un attaché parlementaire.
▶La députée Violette Spillebout (Renaissance) recherche un collaborateur de cabinet stagiaire.
▶La députée Caroline Yadan (Renaissance) recherche un collaborateur de cabinet stagiaire.
Nominations
Collectivités
Léa Privel est promue directrice de cabinet du maire de Bron (69), Jérémie Bréaud (LR).
Alexandra Bassinat est promue directrice de cabinet du maire de Caen (14), Joël Bruneau (LR).
Marie Brunet est promue directrice de cabinet de la maire de Saint-Genis-Laval (69), Marylène Millet (DVC).
My-Lan Nguyen a été nommée conseillère économie, entreprise et formation au cabinet du président de la Région Sud - Provence-Alpes-Côte d’Azur, Renaud Muselier (RE).
Élodie Mocrette est nommée chargée de communication de la commune nouvelle de Lys-Haut-Layon (49).
Bezza Berkani est nommé directeur de cabinet adjoint du maire de Cergy, Jean-Paul Jeandon (PS).
Anthea Miglietta, adjointe en charge de la transformation de l'espace public et des espaces verts dans le 2e-3e arrondissements de Marseille, devient cheffe de cabinet adjointe du maire de Marseille, benoît Payan.
Gouvernement
Najet Boubekeur est nommée conseillère communication et presse du ministre délégué au logement, Patrice Vergriete.
Olivier Brandouy est nommé directeur adjoint du cabinet du ministre de l’éducation nationale et de la jeunesse, Gabriel Attal, et Antoine Lesieur, chef de cabinet adjoint en charge des élus.
Camille Régent a été nommée conseillère presse du ministre de la santé et de la prévention, Aurélien Rousseau.
Mylène Testut-Neves est nommée directrice de cabinet adjointe du ministre de l'agriculture et de la souveraineté alimentaire, Marc Fesneau, et Yves Auffret, directeur adjoint.
Matthieu Labbé-Zerilli est nommé conseiller spécial, chef de cabinet du ministre délégué chargé des relations avec le Parlement, Franck Riester.
Cécile Courault est nommée directrice de cabinet de la ministre déléguée chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, Bérangère Couillard.
Alexandra Chamoux est nommée cheffe du cabinet du ministre délégué chargé des outre-mer, Philippe Vigier.
Ce qu’ils/elles sont devenus
Benoit Cormier, ex-responsable de la communication et de la presse chez France Urbaine (2019-2023), est nommé consultant chez Havas Paris.
Ziad Gebran, ex-conseiller presse de Sébastien Lecornu, ministre chargé des collectivités territoriales, des Outre-Mer, puis des Armées, (2019-2023) est nommé directeur des relations presse, de la réputation et de la communication aux actionnaires individuels et aux salariés, chez Axa.
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Entourages est une publication FPMédias, commission paritaire n°0624 X 94935